París levantará el primer rascacielos de la capital en 30 años: se aprueba la construcción de la polémica torre Triangle, que será el primer edificio de gran altura desde 1977

 

La torre Triangle se inaugurará en París en 2017

El Consejo de la ciudad de París ha dado su aprobación a la construcción de un controvertido edificio, la torre Triangle, de 180 metros de altura, al que los críticos califican de un «ataque a la belleza de la capital francesa». Después de una larga polémica, la monumental torre Triangle será una realidad en París. Ayer, una comisión que representa a diferentes grupos políticos de la capital aprobaba el proyecto de construcción del edificio, con la frontal oposición de los Verdes y asociaciones defensoras del patrimonio de la capital francesa.

La torre, de acero y cristal, y con forma de pirámide, tendrá 40 plantas y será el primer rascacielos que se construirá dentro de la capital francesa, desde hace más de 30 años. Su presupuesto alcanza los 535 milllones de euros y su construcción, a cargo de los arquitectos Jacques Herzog y Pierre de Meuron, consta exclusivamente de financiación privada. El edificio, previsto para su inauguración en 2017, estará compuesto en su mayor parte por espacios para oficinas, aunque también ofrecerá salas de conferencias, restaurantes panorámicos y tiendas en su planta baja. En un primer momento, los arquitectos planificaron incluir un hotel, una piscina y un museo en su espacio, pero ese proyecto ya ha sido descartado.

Críticas
París ha procurado siempre mantener la «armonía general» en la arquitectura urbana, para no perder la monumentalidad de algunos edificios históricos, asegura Olivier de Rohan Chabot, que forma parte de un grupo que defiende el arte galo. «No estamos en contra de la torre», afirma, «pero no queremos que se arruine el horizonte de París». Este experto en urbanismo y arte asegura que ya en su día la torre Montparnasse «aplastó» el hotel des Invalides, que integra la tumba de Napoleón. «El monumento fue construido para ser grandioso, pero se ha quedado enano al lado de la torre que lo ridiculiza. Es un ataque a la verdadera belleza de esta capital», sentencia.

Yves Contassot, un concejal de los Verdes de París, asegura que la torre «es un colosal bloque de oficinas», que no incorpora ninguna idea de vivienda social y «dará siempre sombra» a muchos locales y viviendas cercanas, además de estar planificado sobre una acumulación de aguas subterráneas. Sin embargo, Herzog y de Meuron, que ya diseñaron la Tate Modern y el estadio olímpico de Pekín, aseguran que su estructura «limitaría la sombra a los vecinos» y que será un edificio muy ecológico, al utilizar «el viento y el sol para producir energía». Los responsables del proyecto aseguran que «no hay que pensar en él como en una simple torre, es una ciudad en vertical».

Sin grandes alturas desde 1977
El alcalde socialista de París, Bertrand Delanoë, que describió la torre como una construcción «emblemática del aura y el dinamismo de París», ha luchado para hacer excepciones a la prohibición de construir edificios de gran altura en la capital gala. Esta restricción de altura se introdujo en 1977, después de que los parisinos criticaran la construcción de la torre de Montparnasse, cerca del río Sena, que mide 210 metros. Tanto es así, que hay un chiste popular en la ciudad que implica a este edificio de oficinas: «¿Cómo llamarías a un belga que consigue derribar la torre Montparnasse? Héroe nacional».

Tanto la torre Triangle y la Montparnasse son pequeños edificios comparados con la torre Eiffel, de 324 metros de altura. Además, en París se encuentran en construcción una serie de rascacielos en La Défense, el distrito financiero al oeste de la capital, como el Lighthouse, el Signal y el Hermitage Plaza, proyectado para ser el más alto de Europa. Las obras de la torre Triangle comenzarán el año que viene, después de que las autoridades revisen su plan urbanístico este otoño.

Seville l´on voit à Paris

 

 

La France est le principal marché international de visiteurs de Séville et il est en croissance continue. Il existe des connexions aériennes à partir de Paris, Marseille, Bordeaux, Nantes et Toulouse. Ce flux de visiteurs a augmenté de près de 285% depuis 2005 et représente actuellement 35% du total des touristes étrangers que nous accueillons dans notre ville.Les raisons de cet intérêt et de ce goût du voyageur français de visiter Séville, pour moi, sont claires.              

 

D’abord, la qualité elle-même et le positionnement de notre ville dans une activité, le tourisme, pour laquelle nous avons une expérience extraordinaire depuis des générations. Il en résulte que nous sommes une destination leader du tourisme urbain et d’affaires européen et dans une enclave de référence mondiale. Avec plus de 3 millions de nuitées, plus de 22 000 places hôtelières, 4,2 millions de passagers arrivés à l’aéroport international San Pablo et plus de 1,2 millions de voyageurs transportés par le train à grande vitesse, Séville devient la troisième destination urbaine espagnole, après Madrid et Barcelone.  Séville est également une destination consolidée pour le tourisme de congrès: nous disposons de l’enceinte de congrès et foires Fibes, qui verra bientôt multiplié sa valeur de référence lorsqu’il comptera avec l’un des centres de réunions et d’expositions les plus vastes et modernes en Europe, avec un auditorium de 3 600 places, et qui sera opérationnel avant la fin de l’année. Un bâtiment emblématique de l’architecte espagnol Vázquez Consuegra, sur le point d’ouvrir ses portes. J’associerai à cela l’excellence de notre offre de services et de logements, grâce à un secteur industriel dynamique, actif et compétitif.

 

La seconde des raisons fondamentales pour lesquelles Séville est un lieu de prédilection pour le voyageur français repose sur le propre caractère de la ville. Son mythe, son histoire, sa culture, son patrimoine millénaire, réhabilité et en excellent état de conservation. L’esprit ouvert et accueillant de ses habitants, la tranquillité de la coexistence dans la rue, dans les bars, sur les terrasses. Les coutumes et les traditions sévillanes, universellement connues, comme la semaine sainte et la Féria.  Il y a aussi, bien sûr son offre culturelle, qui dispose, par exemple, du produit « Séville, ville de l’opéra ». Séville est la scène de plus de 100 opéras, certains d’entre eux sont de grandes productions universelles qui ont porté le nom de notre ville hors de nos frontières, comme: Carmen, Don Juan et Figaro. Elle dispose également du premier événement mondial de flamenco, qui est la biennale de flamenco de Séville. Tout ceci forme un ensemble qui fait de notre ville l’une des villes de plus grande personnalité en Espagne et en Europe, et résume tout ce que signifie l’Andalousie et ses valeurs.

 

Mais outre les deux raisons précédentes, je crois que nous sommes actuellement en condition d’ajouter une troisième raison, une troisième motivation qui sans doute servira, ou sert déjà, à la transformer en une  ville de référence internationale qui développe des politiques très intenses pour humaniser l’espace public, pour transformer la mobilité, en faveur du développement durable à toutes les échelles. Le voyageur qui revient à Séville après quatre ou cinq ans retrouve sans aucun doute une ville profondément transformée, mais beaucoup plus propre, beaucoup plus « Séville » que jamais.

 

Des dizaines d’avenues, places, rues sont devenues piétonnes. Il y a au total, cent mille mètres carrés de nouveaux espaces pour les piétons. Où il y avait auparavant des voitures, il y a maintenant des personnes qui se promènent. Où il y avait auparavant des stationnements, il y a maintenant des terrasses en plein air. La transformation de l’image et de la qualité de la vie de la ville a été, dans ce sens, spectaculaire. Les visiteurs sont entourés de monuments réhabilités, et se promènent à l’intérieur de vastes espaces urbains propices à la cohabitation et à la jouissance de la ville. 

 

Mais nous avons également engagé une véritable révolution de nos systèmes de transports. Nous avons associé le tramway, que nous appelons métro centre, à notre première ligne de métro, qui fonctionne depuis deux ans, Mais ce qui a modifié la façon de se déplacer à Séville a été la création d’un réseau vert de voies cyclables de 120 kilomètres, et la mise en fonctionnement de plus de 2500 bicyclettes publiques distribuées dans toute la ville. Avec l’aide de notre excellent climat, Séville est maintenant la ville espagnole en tête au niveau du transport en bicyclette. Plus de 50 000 sévillans utilisent actuellement ce système. En un peu plus de deux ans nous avons réussi à ce que 7% du transport soit effectué en bicyclette.

 

De plus, le système de bicyclette publique est ouvert à l’utilisation sporadique, qui est celui qui intéresse le touriste. Il n’est donc pas étrange de voir de nombreux touristes qui, juste après être arrivés à Séville, jouissent de cette option agréable, sûre et durable pour se déplacer entre les principaux points de la ville. Une ville qui, vous le comprenez déjà, parvient à maintenir son essence en même temps qu’elle renouvelle son image de façon déterminée, et intègre les modèles des villes urbainement avancées actuelles. 

 

L’espace Metropol-Parasol, inauguré récemment, peut être considéré comme un autre exemple de cet extraordinaire changement d’image. Un projet d’architecture innovateur et d’avant-garde, magnifiquement intégré dans l’environnement de l’agglomération urbaine, et qui est appelé à devenir une nouvelle icône culturelle, de la ville et de l’architecture européenne contemporaine. Il est l’oeuvre de l’architecte allemand Jürgen Mayer, qui sera rapidement, sans aucun doute, l’un des principaux maîtres européens et mondiaux, s’il ne l’est pas déjà.  Le Metropol-Parasol a été déjà reconnu par le musée MOMA de New York comme un point de référence de l’architecture contemporaine. Mais à l’heure actuelle, récemment ouvert, il est découvert par les sévillans et les visiteurs.  Le Metropol-Parasol dispose d’un belvédère depuis lequel vous pourrez jouir de belles vues panoramiques de la ville. Il possède un marché traditionnel, une place publique où peuvent se tenir de grands événements, ainsi qu’un espace archéologique singulier appelé « Antiquarium », où sont exposées in situ des vestiges de la Séville romaine. Il est difficile de se faire une idée de ce dont je parle uniquement avec cette description. Il faut le voir, ou mieux, il faut le visiter, pour se faire une idée de l’enrichissement urbain et également de l’augmentation spectaculaire de l’intérêt de la visite de Séville, que le Metropol Parasol va entraîner très rapidement.

 

En résumé: Il existe de bonnes raisons pour que le voyageur et le touriste français s’intéresse comme il le fait à Séville, et pour qu’il le soit encore plus: de magnifiques installations et équipements touristiques. Le patrimoine et l’atmosphère de la ville. Et maintenant, en plus, une nouvelle Séville plus humaine, plus durable, plus attrayante encore, et orientée vers le futur.  En définitive, nous avons cherché à ce que vous nous connaissiez un peu mieux, à ce que vous vous imprégniez de l’air de Séville, pour que vous ayez, ainsi que vos clients, de nouvelles raisons d’organiser toute sorte d’événements dans notre ville. J’espère que vous jouirez d’une nuit splendide ainsi que de notre ville. Je vous invite à venir la vivre avec nous. Je suis sûr que nous ne vous décevrons pas. S’il y a une chose que nous savons être, c’est les hôtes de ce que nous aimons le plus: Séville. 

 

Queremos comprender al mar…

» Debe ser grande el asombro de esos hombres discretos, previsores y sensatos al ver a muchos que, sin preocuparse gran cosa por las revueltas del camino, van llevados en alas de la suerte por iguales derroteros que ellos, y que tienen, ¡los insensatos!, además de la satisfacción de conseguir un fin, cuando lo consiguen, el placer de mirar a un lado y a otro de su ruta y de ver cómo sale el sol y se pone el sol, y cómo brotan las estrellas en el cielo de las noches serenas. La preocupación por conseguir un fin nos intranquiliza a todos los hombres, aun a los más desaprensivos, aun a los más indolentes, y yo, por mi parte, hubiera deseado vivir todavía más en cada hora, en cada minuto, sin la nostalgia del pasado ni la ansiedad por el porvenir.

  Realmente el mar nos aniquila y nos consume, agota nuestra fantasía y nuestra voluntad. Su infinita monotonía, sus infinitos caminos, su soledad inmensa nos arrastra a la contemplación. Esas olas verdes, mansas, esas espumas blanquecinas donde se mece nuestra pupila, van como rozando nuestra alma, desgastando nuestra personalidad, hasta hacerla puramente contemplativa, hasta identificarla con la Naturaleza. Queremos comprender al mar, y no le comprendemos; queremos hallarle una razón, y no se la hallamos. Es un monstruo, una esfinge incomprensible; muerto es el laboratorio de la vida, inerte es la representación de la constante inquietud. Muchas veces sospechamos si habrá en él escondido algo como una lección; en momentos se figura uno haber descifrado su misterio; en otros, se nos escapa su enseñanza y se pierde en el reflejo de las olas y en el silbido del viento. »
Pio Baroja

Las inquietudes de Shanti Andía

A cogelaluna le gustan las setas

Me gustan las setas. I parte

Hace tiempo que tenía ganas de hablar sobre las setas. Me gustan de muchas formas, a la plancha, al ajillo, revueltas con huevo, guisadas… Y también en la Encarnación. Quiero comentar varias cosas al respecto, quizás mañana.

Me gustan las setas. II parte

By cogelaluna

Después de la nueva receta de setas que me sugirió el encuentro con el Metrosol Parasol un par de noches antes de su inauguración, “las setas a la Encarnación”, quiero dejar aquí escrito lo que creo  pasará y lo que no pasará con este proyecto e hito arquitectónico en Sevilla, pienso que el primero de una relevancia equiparable a aquellos (muchos) que nos trajo el sueño de la Expo 92.

Lo primero es lo más obvio de todo, que sobre gustos no hay nada escrito, por lo que es natural que haya personas encantadas y otras cabreadas con su irrupción en pleno centro de la ciudad. Muy respetables todas las posturas .

A mí me gustan las setas; me gusta este Metrosol que sólo he podido ver en fotos o desde detrás de las vallas. Me gusta que ocupen por fin un espacio que ha sido solar durante décadas, nido de ratas y de basura. Me gusta que se asomen desde lo moderno a una Sevilla antigua y bella en su casco histórico, aunque no precisamente digo bella por lo que rodea a este proyecto, cuyas edificaciones no destacan precisamente por su interés y  valor histórico. Me gusta porque crean un espacio público amplio, que va a ser lugar de encuentro de los sevillanos y reclamo para los visitantes, que ahora, además de la Plaza de España (preciosa), el entorno de la Catedral (impresionante), el barrio de Santa Cruz (maravilloso), etc, etc, preguntarán por las setas para hacerse fotos, ver algún museo, comer, comprar, sentarse en las escalinatas y, si no hay muchas colas, que las habrá, subir al mirador para contemplar una nueva perspectiva de esta ciudad.

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Jorge Sampaio recebeu hoje do presidente da Câmara de Sevilha o prémio internacional "Sevilla Nodo entre culturas",

 

Jorge Sampaio recebeu hoje do presidente da Câmara de Sevilha, Alfredo Sánchez Monteseirín, o prémio internacional «Sevilla Nodo entre culturas», pelo seu papel enquanto alto representante das Nações Unidas na organização internacional para a Aliança das Civilizações. O primeiro galardoado por este prémio foi o ex-secretário-geral das Nações Unidas Kofi Annan, tendo já distinguido também o antigo diretor da Agência Internacional de Energia Atómica El Baradei e o antigo primeiro-ministro turco Edrogan, entre outros.

Las setas que dieron la vuelta al mundo

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Los medios de comunicación de todo el mundo destacan que Sevilla cuenta con un nuevo hito arquitectónico. Y los blogs de arquitectura de todo el globo oscilan entre la admiración y la envidia

La prensa digital de buena parte del planeta, por no hablar de lo que están moviendo en la blogosfera los arquitectos y estudiantes de arquitectura y diseño de todo el mundo, recoge  con cierta profusión la apertura de Metropol Parasol(19.300 resultados en las últimas 24 horas en el buscador Google).

Saliéndonos del quiosco digital español periódicos desde China a San Francisco , pasando por el prestigioso The Guardian (uno de los cinco rotativos del mundo elegidos por Wikileaks para la mayor filtración de la Historia) se hacen eco de la apertura del Metropol. El corresponsal del Guardian alabó el proyecto recordando que antes de las setas (que a él le recuerdan más a gofres) en la plaza sólo había un enorme explanada de aparcamiento.

Periodicos como Jutrarnji, de Croacia, destacan el hito de que ahora Sevilla cuenta con la mayor estructura del mundo hecha en madera. La agencia danesa Globe Newsire también menciona al Metropol Parasol como icono mundial.

Sanjay Gangal, que escribe en el blog de arquitectura Aeccafé , lo tiene aún más claro: el nuevo monumento «un icono de la ciudad», convertirá a Sevilla en uno de los más «fascinantes destinos del mundo» al insertar esta obra en el corazón del casco medieval. En parecidos términos se refiere a Metropol Parasol la entrada del blog de arquitectura de Zúrich (Suiza) Dailytonic. Y aquí está Metropol Parasol en otra entrada de un blog de arquitectura holandés. En Finlandia se destaca que ésta es la procedencia de la madera de las Setas.

También se pueden seguir en blogs de arquitectura de la américa hispanohablante o incluso en la CNN en español de México el impacto de los «hongos sevillanos».

El hashtag (icono de búsqueda de la red social Twitter que permite estar al día de los temas del momento) #metropol da una idea de cómo viven la inauguración de las Setas los sevillanos. La apertura de las setas tiene ya su hueco en este nuevo catálogo de lo que existe y lo que no que es la Wikipedia .

From J. MAYER H. Team

Don Alfredo, dear Señor Alcalde,
I wanted to congratulate you again for being a very visionairy mayor.
In the name of the entire J. MAYER H. team I am sending you my biggest
thanks for making Metropol Parasol a real urban space – will the
people of Sevilla and their guests enjoy a unique experience in the
center of the city.
with hightest regards,
Juergen

El Público

El Publico.es  / FERNANDO VICENTE Sevilla 28/03/2011 /foto cortesía de Diario de Sevilla|

«Tras tres mandatos como alcalde de Sevilla, el socialista Alfredo Sánchez Monteseirín se despidió ayer simbólicamente del cargo con una última inauguración: el proyecto Parasol Metropol, popularmente bautizado como “las setas” de la plaza de la Encarnación. Es, sin duda, la obra más polémica de un alcalde que siempre dijo que quería pasar a la historia como un regidor que se atrevió a modernizar Sevilla. Renovación del puerto, reubicación de las grandes empresas de la ciudad (Cruzcampo y Abengoa), peatonalización y carril bici, metro y tranvía, forman parte de su legado.»

«Sin embargo, al final, cuando en junio ceda el bastón de mando, sus 12 años al frente de la ciudad serán juzgados por el éxito o el fracaso de las tan discutidas setas. “Así es la vida”, reconoce Monteseirín con una triste y resignada sonrisa en los labios. Inspiradas según su autor, el arquitecto alemán Jurgen Mayer, en los centenarios ficus que ocupan la plaza en la que se alzan (aunque al final él también ha aceptado el concepto de setas), consisten en una gigantesca estructura de madera de 150 metros de largo, 70 de ancho y 30 de altura, que para sus críticos le sienta al casco histórico de Sevilla “como a un Cristo dos pistolas”.

Pero esa es precisamente la intención del proyecto, dotar a la zona norte del centro de la ciudad de un símbolo de modernidad que a la vez constituya un potente atractivo turístico y comercial. “Una moderna catedral urbana en el centro del casco histórico más grande de Europa”, como dice Monteseirín, que no duda en compararla con el Museo Guggenheim de Bilbao o la célebre pirámide del Louvre de París.

Es cierto que, además de su vanguardista atractivo visual –se trata de una de las 35 arquitecturas escogidas por el Moma de Nueva York para representar la arquitectura del siglo XXI–, el proyecto cuenta para lograrlo con su propio museo, organizado entre los restos romanos descubiertos durante las obras, para contar la historia de la ciudad mediante la exposición de restos arqueológicos que van desde la Roma de Tiberio hasta la Sevilla árabe y las aportaciones cristianas.

Junto a la galería comercial, el mercado de abastos, y el mirador sobre la ciudad con restaurante y bares incluidos, Metropol Parasol pretende que a partir de ahora la plaza de El Salvador y su iglesia barroca, como dice uno de los responsables de la idea, “no sea el último sitio que se visita en Sevilla viniendo desde la torre del Oro”.
Un proyecto de desgaste

Pero ha sido muy costoso, y no sólo en términos políticos. Al desgaste de una obra que al final ha durado siete años (desde que en 2004 se convocase el concurso de ideas), se une el enorme sobrecoste, de unos 30 millones de euros, que supuso reconvertir en madera la estructura de metal que el arquitecto alemán había diseñado sin tener en cuenta que con las temperaturas de Sevilla habría resultado asfixiante.

No hay mal que por bien no venga. En uno de los primeros ejemplos de cofinanciación público-privada de obras públicas que ahora está tan en boga, Sacyr-Vallermoso se hizo con la construcción y con parte de su financiación, a cambio de explotarla comercialmente durante 40 años. Para su responsable en Andalucía, Antonio Belmonte, las setas suponen también una aportación tecnológica que, asegura, “marca un antes y un después” en el uso de la madera: “Se han aplicado criterios de cálculo de estructuras que no se habían usado nunca. Hasta ahora la madera era para diseños ornamentales, y en esta obra se ha utilizado con criterios estructurales. Probablemente estamos hablando del proyecto estructural más complejo en el que se ha trabajado en el mundo en los últimos años”…

Nueva línea de cercanías C5 Sevilla Santa Justa – Benacazón

«El Cercanías es mejor que coger el coche»

María Teresa Márquez ha sido la primera pasajera del Cercanías del Aljarafe. Más de una veintena de usuarios viajaron en el primer trayecto en tren a la capital.

el Correo de Andalucia 28/3/2011

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